dc.contributor |
Alonso Pérez de Agreda, Eduardo |
dc.contributor.author |
Gotor Olabarría, Jesús |
dc.date |
2003-09-30 |
dc.identifier.uri |
http://hdl.handle.net/2099.1/6248 |
dc.language.iso |
fra |
dc.publisher |
Universitat Politècnica de Catalunya |
dc.rights |
Attribution-NonCommercial-NoDerivs 3.0 Spain |
dc.rights |
info:eu-repo/semantics/openAccess |
dc.rights |
http://creativecommons.org/licenses/by-nc-nd/3.0/es/ |
dc.subject |
Àrees temàtiques de la UPC::Enginyeria civil |
dc.subject |
Àrees temàtiques de la UPC::Enginyeria civil::Geotècnia |
dc.subject |
Sòls argilosos -- Estabilitat |
dc.subject |
Mecànica dels sòls |
dc.subject |
Moviments de terres |
dc.subject |
Geomecànica |
dc.title |
Étude du comportement des limons loessiques soumis aux vibrations ferroviaires |
dc.type |
info:eu-repo/semantics/bachelorThesis |
dc.description.abstract |
À partir des enregistrements de paramètres de forage sur le tracé TGV Nord, on a
montré la présence des limons décomprimés caractérisés soit par la forte porosité soit
par la présence de fontis. Ces limons, non saturés en général, sont susceptibles de
s’effondrer sous des sollicitations mécaniques (contrainte statique), hydrique (humidité)
et dynamique.
Le problème d’effondrement lié à l’augmentation de la teneur en eau sous des
contraintes mécaniques a fait l’objet de nombreuses investigations, en particulier dans
les pays où les sols loessiques sont répandus. Il est maintenant bien connu que
l’effondrabilité d’un sol dépend de sa minéralogie, sa fraction argileuse, la forme de ses
grains et sa granulométrie, sa teneur en eau naturelle, son indice des vides, la dimension
et la forme de ses pores, son niveau de cimentation, la nature et la concentration des
ions dans son eau interstitielle. En somme, pour qu’un sol s’effondre, il faut vérifier
deux conditions : premièrement il doit exister des vides macroscopiques (indices des
vides élevé) qui représente la potentialité d’effondrement, et deuxièmement il faut
vérifier à l’échelle microscopique (au niveau des contacts entre grains ou agrégats) le
critère de rupture de Mohr-Coulomb généralisé (Cui et Magnan 2 000) |