Le projet Latitude Zéro , initialement intitulé “projet humanitaire de promotion” , a bien évolué depuis ses origines… Loin d’être un classique projet humanitaire, il prend désormais la forme d’un espace où se mêlent à la fois u tilisation de compétences d’ingénieurs, formation apportée par des spécialistes, travail sur un p rojet concret répondant à une demande réelle, et découverte d’une nouvelle culture. Comment en eston arrivé là ? C’est ce qui est détaillé dans le rapport ciaprès ! En guise d’introduction, rappelons donc les ambitions de Latitude Zéro, et le format dessiné pour y parvenir. Les objectifs du projets sont multiples : il s’agit non seulement de faire connaître l’entreprenariat social à CentraleSupélec, de façon concrète et bien renseignée, car ce domaine très en vogue actuellement dans les écoles de commerce reste trop méconnu en école d’ingénieur, mais aussi d’inciter et de f avoriser l’engagement de centraliens dans des projets de ce type, en agissant comme un “ déclic” pour bon nombre d’entre eux et en mettant tout en place pour que leur investissement soit facilité, et enfin de s’assurer que cet engagement soit l e plus efficace possible et réponde à une réelle demande, en permettant que les étudiants y apportent le maximum de leurs compétences d’ingénieur , et en organisant donc l ’encadrement et le suivi des projets, issus des besoins d’entrepreneurs sociaux . Nous avons choisi de travailler particulièrement avec l ’Equateur. Pourquoi ? C’est ce qu’explique la s ection 2.2.1 ! Quant au déroulement que nous avons imaginé pour remplir ces objectifs, il concernera pour cette première année 3 0 étudiants de 2ème année de CentraleSupélec, avec l’objectif à terme d’atteindre le nombre de 50 participants, et sera rythmé comme suit, du plus général au plus particulier : ● Semestre 1 : sensibilisation et formation Il s’agira d’une série d’interventions faisant participer entrepreneurs sociaux, spécialistes de l’Equateur et professeurs de gestion de projet, afin de prodiguer aux étudiants les connaissances et la formation nécessaires. ● Semestre 2 : construction du projet Les projets, proposés par des entrepreneurs sociaux équatoriens, et nécessitant la mise en pratique des compétences d’ingénieur des étudiants, seront attribués à différents groupes au mois de décembre. La phase de construction du projet se fera sous la forme d’un projet innovation (S8) inscrit dans le cursus de deuxième année. ● Eté : mise en place du projet L’été suivant sera consacré à un départ en Équateur sous la forme d’un stage, avec pour objectif l’implémentation sur place des résultats du projet.